22 septembre 2009
L'UE participe à la lutte contre les feux de forêts
19 août 2009
Incendies de forêts : 200 000 hectares ravagés dans l'Union européenne
L’EFFIS surveille en permanence le risque d’incendie de forêt, qui est actuellement toujours élevé, et vient de publier le rapport «Forest Fires in Europe 2008» qui donne une vue d’ensemble des risques d’incendie de forêt et des conséquences de ces incendies en Europe pour l’année 2008.
05 août 2009
l'Union Européenne aidera à la reconstruction des Abruzzes
07 juillet 2009
La France va se doter d'un centre d'alerte aux Tsunamis
"En cas de séisme au large des côtes nord-africaines, on peut disposer d'une heure, voire de deux heures maximum, pour alerter les populations exposées sur les côtes françaises, explique François Schindelé, spécialiste de l'aléa tsunami au CEA. En revanche, si un séisme survient en mer Ligure (au nord de la Corse), on peut n'avoir qu'un quart d'heure avant que la vague ne touche les mêmes côtes."
Quinze minutes : c'est donc la durée de temps maximale qui devra s'écouler entre la survenue d'un séisme sous-marin en Méditerranée ou dans l'Atlantique du nord-est, et l'évaluation du risque de tsunami par le Cratanem.
Le budget de 14 millions d'euros alloué au projet pour les cinq prochaines années devra permettre la mise à niveau des stations sismographiques du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et du CEA dispersées sur les deux bassins. De même, les stations marégraphiques du service hydrographique et océanographique de la marine (SHOM) devront être adaptées pour pouvoir suivre en temps réel - et non ponctuellement, à intervalles de temps réguliers - les variations du niveau de la mer et les communiquer au Cratanem. Des stations de mesures italiennes, allemandes ou portugaises seront également utilisées.
Derrière un cahier des charges en apparence simple se cachent des questions scientifiques pointues. En fonction des divers paramètres mesurés (magnitude du séisme, zone sismique en cause, variations consécutives - positives ou négatives - du niveau de la mer dans certaines zones, etc.), le système d'alerte devra calculer en temps réel l'intensité du risque et les zones les plus exposées.
Une fois donnée cette alerte dite "montante", un système d'alerte dit "descendant" - des autorités vers les populations - devra être activé. En France, la direction de la sécurité civile est chargée d'imaginer ces procédures qui devront permettre, en fonction de la hauteur attendue de la vague et de la nature des littoraux - les plages et les zones portuaires étant les plus vulnérables -, de prévenir au plus vite les populations.
Cette phase d' "ingénierie sociale" est critique : elle nécessite la sensibilisation du public au risque, la collaboration des collectivités locales, ainsi que la mise en place de matériels (sirènes, etc.) et de procédures destinées à n'être activées que très rarement.
22 juin 2009
3 ème sommet européen de Protection Civile à Bruxelles les 25 et 26 Novembre 2009
strengthen Europe's emergency management capacity, focusing on the prevention and preparedness phase of the emergency life cycle;
develop the network between all civil protection actors and interested parties, including the private sector;
increase the knowledge of new prevention, preparedness and response technologies available on the market;
raise public awareness.
Opening Session : Enhancing European Resilience
Debate 2: Citizens' Self Sufficiency and Civil Protection Response
Seminar A: European Civil Protection: Progress made, challenges and opportunities
Seminar B: Joint Needs Assessment in the immediate aftermath
Seminar C: Raising citizens trust and preparedness
Seminar D: Preparing Europe to receive assistance
Seminar E: Existing models of cooperation and sharing resources
Seminar F: Innovative Technology for Disaster Management
Debate 3: Governance in European Disaster Management
Closing Session : Challenges and opportunities for Europe in 2010 and beyond
31 mai 2009
Les Abruzzes après le seisme, la Protection Civile toujours présente
Ils sont répartis en plusieurs campements, disposant de sanitaires collectifs nettoyés tous les jours. Divers services et équipements leur permettent de se retrouver pour discuter: machines à café, services postaux et bancaires, machines a laver.
Les terrains de sports sont utilisés par les organismes d'animation pour les enfants. Le quotidien est rythmé par les trois repas journaliers servis avec le concours des équipes de la protection civile italienne. Des bus permettent de se rendre gratuitement, sur demande, à l'Aquila ou au centre commercial.
le tri de l'impressionnant stock de dons venus de toute l'Italie
Sources : Fred Marillaud